Marqué à vie par le Peuple Vert
Nolan Roux : « C’est très simple. Quand tu as joué pour Saint-Etienne, que ce soit un an, deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, Pour ma part, c’était deux ans, et quand j’ai connu l’ambiance de Geoffroy Guichard. Quand j’ai connu le stade plein, quand j’ai connu les personnes qui travaillaient quand moi j’y jouais, tu as toujours un regard. Tu as toujours un regard sur l’ASSE parce que c’est un club qui marque. C’est un club qui marque une vie, c’est un club qui marque un footballeur. Et pour ma part, je garde encore des contacts.”
Des contacts à l’ASSE
Nolan Roux : “J’ai eu Loïc Perrin, avec qui j’ai joué et qui est maintenant directeur sportif. J’ai encore des contacts avec Anthony Briançon, le capitaine, parce que j’ai évolué avec lui à Nîmes et on a toujours gardé de bons rapports. On s’entend très bien. Et puis avec Irvin aussi un peu, Cardona, parce que je l’ai connu. Il a évolué à Brest et comme je l’ai vu marquer des buts. En tant qu’attaquant, on a un peu aussi le même caractère.
Donc Gautier Larsonneur aussi. Donc c’est pour ça, tous ces joueurs-là qui sont plus jeunes que moi. Mais j’aime bien. J’aime bien parce que tu découvres des gens différemment, parce que tu ne les rencontres pas sur le terrain, entre guillemets.
Tu les rencontres après un match, dans une discussion. Très simple
Saint-Étienne marque
Nolan Roux : “Saint-Etienne, ça marque une carrière, ça montre aussi beaucoup de choses. Tu ressens une ferveur, tu ressens toute la ville qui est derrière un club. Et c’est pour ça que je regarde encore. Alors, je ne regarde pas tous les matchs. Quand tu as des attaches avec un club, tu regardes les résumés, tu regardes les buts, tu regardes le classement, tu regardes des choses comme ça. Et puis après, tu demandes à ceux que tu connais qui jouent au club, est-ce que ça va ? Est-ce que ça se passe bien ? Est-ce que l’ambiance, ça va ? Voilà, c’est des choses très simples, mais c’est important.”
